• J'étais un peu à la bourre en partant de chez moi à vélo mais la vue d'un tas de déchets m'a forcément fait faire un petit détour. Il y avait deux aspi, l'un moderne sans sac et un autre plus ancien et plus classique. Dans ces cas-là il faut réfléchir vite : ni un ni deux je chope le sans sac et je le remporte à la maison avant de repartir au boulot. L'objet traîne un peu dans le garage (il faut laisser mûrir ces choses-là) et je le branche : l'aspi tourne, bien, mais n'aspire, rien.

    Et oui, si un aspi sans sac n'a pas de sac, il a des filtres. Et quand les filtres sont bouchés : ça n'aspire plus !

    Bref, un gros dépoussiérage plus tard et nous voilà équipés d'un bolide des surfaces !


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  • Ahhhh le Sud, ses magrets de canard, sa brique rose, son climat clément, ses punks à chiens et le rugby ! M'y voilà depuis plus d'un an et je ne le regrette pas ! J'ai quitté Paris sans l'ombre d'un doute, y laissant de nombreux amis que j'espère secrètement attirer plus au Sud, preuve que je ne partais pas à cause d'eux. Mais voilà... où sont passsées les belles Parisiennes ? Après la soirée d'hier, j'ai compris qu'on les trouvait aussi par ici, et que le net était leur royaume...

    Voilà comment je me suis retrouvé à la soirée SOBlogueuses, quasi seul mâle au milieu des 70, 80 ? invitées, repérées pour leurs blog mode, beauté, mater, cuisine ou voyage par une fine équipe de 8 blogueuses chevronnées : les dites SOBlogueuses en chef !

    Soirée #soblogueuses

    La photo est prise par le Studio AP2C, les deux excellents-charmants-drôles-adorables Amandine et Charly :

    Soirée #soblogueuses

    Et quoi qu'on a fait à cette soirée ? Y avait du monde, y avait tout plein de stands (surtout pour les filles, hein, du maquillage Essie, un atelier bijou de Fifi Jolipois (l'immanquable boutique de la rue Cujas), des bijoux très classes de Oliv.B, Overblog (toulousains, donc), la glitter virgin de C.2 Factory, et ainsi de suite). Moi j'ai bavassé et je me suis gavé car il y a avait les mini burgers de la cook mobile et les desserts de Maman les petits gâteaux, et du gaillac perlé du Mas de Grouze.

    Bon, y avait plein de sponsors, donc des cadeaux (on dit des goodies, et oui), et notamment la Ville de Toulouse qui prêtait la salle super neuve de l'UCJG. Moi je me suis bien amusé, j'ai papoté avec plein de gens que je ne connaissais pas et c'était bien cool. Par contre, l'année prochaine, faut penser à des sponsors que je fréquente plus souvent (Leroy Merlin par exemple, je dis ça je dis rien :-) )

    Contenu du totebag (oui, on dit comme ça aussi, c'est fou tous ces mots qu'on utilise sur les blogs) avec mention spéciale pour les bijoux (Oliv.b donc et Amicie Factory)

    Merci aux SO Blogueuses ! (et aux blogueuses tout court voire très court)

    (sinon, y avait une grosse benne de chantier devant l'immeuble, je me suis retenu mais c'était tentant, y avait de quoi choper des matériaux, des K7 vidéos de DBZ, de la palette, des tasseaux... pffff....)


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  • (mauvais jeu de mot pour diamant sur canapé, mais ça n'a rien à voir). J'ai récupé il y a quelques semaines deux chaises à accoudoirs en très mauvais état : bois abîmé, assise salie, stabilité à revoir. Mais avec un beau potentiel :

    Vous voyez le potentiel ? Non ? Vous n'êtes pas les seuls, sinon je n'aurais pas pu les choper dans la rue.

    J'ai de la chance, après un gros travail pour enlever toutes les agrafes, je découvre un cadre en bois en bon état avec deux gros ressorts. J'ai pas trouvé de toile matelassée alors j'ai acheté de la toile de jute pour couvrir le fond et un gros carré de mousse par-dessus.

    Je vous passe le travail fastidieux de ponçage et on passe à la peinture, rubis donc, choisie par Karine, de même pour le tissu :

    Et tout de suite Kodak a pris sa place : validé ! (me reste plus qu'à faire pareil avec le deuxième, en mieux bien sûr !)


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  • Chez Truffaut ils vendent un "panneau végétal" pour avoir la joie de faire pousser des plantes contre un mur. Coût de l'opération : 130€ (et ouais, si tu vas chez Truffaut, c'est pas pour rien). Leur truc ça ressemble idéalement à ça :

    C'est joli mais c'est évidemment un peu cher pour quelques planches brutes. Alors moi j'ai récupéré de la palette et j'en ai profité pour combler un trou entre chez nous et le voisin, en empêchant ainsi notre charmant félin de se faire la malle de ce côté-ci :

    Donc, deux demi-palettes, des sacs de supermarché découpés et grâce à l'agraffeuse électrique, de quoi les fixer dans l'épaisseur.

    On a quand même acheté les plantes à Truffaut, parce que les voler, c'est pas facile, surtout l'été.


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  • J'avoue avoir un petit problème avec les chaises : j'adore en récupérer... A Paris c'était d'ailleurs un peu n'importe quoi (ma préférée ; la classe à Dallas ; l'exilée ; le tabouret malin ; le couple inséparable) mais j'avoue devoir me retenir. Sans parler des chaises dont j'ai héritées par anticipation, deux chaises de l'avant-guerre (mais laquelle ?) deux chaises de Mont-sur-Gesnes. Le problème c'est qu'à force de s'asseoir dessus, l'assise a fini par se casser et mon ami Jean-Baptiste se retrouver (deux fois) à s'excuser. Il était temps d'agir !

    Les chaises ont de l'avenir

    J'ai commencé par enlever l'assise en bois (pas facile, avec la colle et la peinture accumulées...)

    Les chaises ont de l'avenir

    Avec de la sangle élastique récupérée sur un vieux canapé, j'ai tissé le fond grâce à mon nouveau jouet : une agrafeuse électrique.

    Les chaises ont de l'avenir

    Un brin de couture ? Pas tout à fait... J'ai collé avec de la néoprène trois morceaux de mousse et j'ai réajusté l'ancien fond en bois donner une assise plus ferme

    Les chaises ont de l'avenir

    Un tissu acheté il y a longtemps et un paquet d'agrafes pour tendre le tout

    Les chaises ont de l'avenir


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  • En revenant de la bibliothèque je passe devant ces nouvelles poubelles enterrées qui fleurissent dans les centre-ville des villes modernes. L'avantage c'est que les gens hésitent à y jeter des objets qu'ils auraient franchement balancé dans les grandes bennes fourre-tout. Pourquoi ? L'ouverture est étroite et la trappe coince-doigts. En outre, je pense que dans l'imaginaire, le fait de jeter ses ordures dans un trou provoque une sorte de réticence : la terre pourra-t-elle digérer toutes mes merdes ?

    Surtout quand il s'agit d'une belle boîte en bois laqué...

    Qui cache un microscope !

    Avec les lamelles en verre dans une belle boîte.


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